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L'importance de la couleur dans le domaine de l'activité artistique perceptuelle a été largement étudiée par des scientifiques et des artistes au fil des siècles. Cependant, c'est à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle que l'étude de la couleur acquiert de nouveaux concepts et préoccupations, en relation avec le langage de la perception et la connexion avec la psychologie (Gage, 2006). John Gage nous rappelle que la numérotation des catégories de couleurs ne se réfère qu'à une petite fraction des millions de sensations/couleurs qui existent, et, dans ce sens, la plupart des individus peuvent les identifier. Les artistes voient les couleurs de manière très particulière et les présentent avec leurs propres caractéristiques (Gage, 1999). Johannes Itten écrit que la couleur est la vie, qu'un monde sans couleurs est comme un monde mort (Itten, 1961). En relation avec le matériel et l'immatériel, la couleur dans le verre possède une relation intrinsèque. La couleur varie dans l'espace et dans le temps, agissant de manière différente par rapport à d'autres matériaux (Almeida, 2011). | L'importance de la couleur dans le domaine de l'activité artistique perceptuelle a été largement étudiée par des scientifiques et des artistes au fil des siècles. Cependant, c'est à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle que l'étude de la couleur acquiert de nouveaux concepts et préoccupations, en relation avec le langage de la perception et la connexion avec la psychologie (Gage, 2006). John Gage nous rappelle que la numérotation des catégories de couleurs ne se réfère qu'à une petite fraction des millions de sensations/couleurs qui existent, et, dans ce sens, la plupart des individus peuvent les identifier. Les artistes voient les couleurs de manière très particulière et les présentent avec leurs propres caractéristiques (Gage, 1999). Johannes Itten écrit que la couleur est la vie, qu'un monde sans couleurs est comme un monde mort (Itten, 1961). En relation avec le matériel et l'immatériel, la couleur dans le verre possède une relation intrinsèque. La couleur varie dans l'espace et dans le temps, agissant de manière différente par rapport à d'autres matériaux (Almeida, 2011). | ||
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'''Antécédents''' | '''Antécédents''' | ||
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L'artiste João Aquino Antunes (1939-2022), ancien professeur de la Faculté des beaux-arts de l'Université de Porto, connu pour son vaste travail de vitrail (et aussi en mosaïque), qu'il intitule Art Monumental, croyait que c'est la peinture la plus adaptée aux intérêts communs des populations, dans le sens où elle établit une fonction objective et immédiate (Almeida, 2011). C'est l'artiste portugais qui a réalisé le plus d'œuvres en vitrail. Issu d'une famille de vitraillistes, João Aquino Antunes possédait un atelier fondé, dans la ville de Porto, par son grand-père Plácido António Antunes (1886 - 1950) en 1906. C'est à partir de cette date qu'une collaboration avec le peintre António Carneiro a débuté, employant des artisans et initiant une collaboration artistique et artisanale dans la réalisation de la technique du vitrail. Une des principales œuvres de cette période est celle réalisée pour l'église Santo António dos Congregadas en 1925 et achevée en 1927. Son fils João Baptista Antunes (1914 - 1994) prend en charge l'atelier après sa mort, élargissant l'atelier, travaillant avec divers artistes portugais pour réaliser des œuvres pour des espaces publics, religieux et privés. Ensuite, le petit-fils de Plácido Antunes, Aquino Antunes, hérite de toute cette tradition de connaissances, commençant à travailler dans cette relation entre l'art et les métiers dès son plus jeune âge. La relation entre les "arts and crafts" est présentée ici dans le personnage du vitrailliste qui exécutait toutes les tâches manuelles, du découpage à la disposition des différents verres dans le four, du montage avec le plomb à la disposition dans l'espace final. L'artiste concevait l'idée, les études, les soi-disant cartons, qui étaient ensuite agrandis, transposés et réalisés en verre. Face à toute cette tradition et ces connaissances, Aquino Antunes décide de créer dans sa ville natale un musée dédié au vitrail et aux œuvres réalisées dans l'atelier Antunes. | L'artiste João Aquino Antunes (1939-2022), ancien professeur de la Faculté des beaux-arts de l'Université de Porto, connu pour son vaste travail de vitrail (et aussi en mosaïque), qu'il intitule Art Monumental, croyait que c'est la peinture la plus adaptée aux intérêts communs des populations, dans le sens où elle établit une fonction objective et immédiate (Almeida, 2011). C'est l'artiste portugais qui a réalisé le plus d'œuvres en vitrail. Issu d'une famille de vitraillistes, João Aquino Antunes possédait un atelier fondé, dans la ville de Porto, par son grand-père Plácido António Antunes (1886 - 1950) en 1906. C'est à partir de cette date qu'une collaboration avec le peintre António Carneiro a débuté, employant des artisans et initiant une collaboration artistique et artisanale dans la réalisation de la technique du vitrail. Une des principales œuvres de cette période est celle réalisée pour l'église Santo António dos Congregadas en 1925 et achevée en 1927. Son fils João Baptista Antunes (1914 - 1994) prend en charge l'atelier après sa mort, élargissant l'atelier, travaillant avec divers artistes portugais pour réaliser des œuvres pour des espaces publics, religieux et privés. Ensuite, le petit-fils de Plácido Antunes, Aquino Antunes, hérite de toute cette tradition de connaissances, commençant à travailler dans cette relation entre l'art et les métiers dès son plus jeune âge. La relation entre les "arts and crafts" est présentée ici dans le personnage du vitrailliste qui exécutait toutes les tâches manuelles, du découpage à la disposition des différents verres dans le four, du montage avec le plomb à la disposition dans l'espace final. L'artiste concevait l'idée, les études, les soi-disant cartons, qui étaient ensuite agrandis, transposés et réalisés en verre. Face à toute cette tradition et ces connaissances, Aquino Antunes décide de créer dans sa ville natale un musée dédié au vitrail et aux œuvres réalisées dans l'atelier Antunes. | ||
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'''Le musée et la collection''' | '''Le musée et la collection''' | ||
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Le choix de l'emplacement a été soigneusement planifié, un bâtiment situé dans la vieille ville près de la cathédrale de Porto, qui a ouvert ses portes en 2021, avec une inauguration officielle en 2022 (Figure 1). Ce musée est constitué de plusieurs étages et abrite une partie du patrimoine des vitraux réalisés par l'atelier Antunes, un atelier familial qui a duré 3 générations (1906 – 2022). En montant l'escalier jusqu'au premier étage, on trouve une fenêtre en face, d'où l'on peut voir l'église Santo António dos Congregadas, le lieu où la première grande œuvre de l'atelier a été réalisée, invitant ainsi le spectateur du musée à déambuler dans la ville à la recherche d'œuvres en vitrail (Figure 2). | Le choix de l'emplacement a été soigneusement planifié, un bâtiment situé dans la vieille ville près de la cathédrale de Porto, qui a ouvert ses portes en 2021, avec une inauguration officielle en 2022 (Figure 1). Ce musée est constitué de plusieurs étages et abrite une partie du patrimoine des vitraux réalisés par l'atelier Antunes, un atelier familial qui a duré 3 générations (1906 – 2022). En montant l'escalier jusqu'au premier étage, on trouve une fenêtre en face, d'où l'on peut voir l'église Santo António dos Congregadas, le lieu où la première grande œuvre de l'atelier a été réalisée, invitant ainsi le spectateur du musée à déambuler dans la ville à la recherche d'œuvres en vitrail (Figure 2). | ||
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'''Symbolisme des formes''' | '''Symbolisme des formes''' | ||
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En 2021, Teresa Almeida réalise le vitrail pour la verrière du musée (Figure 4). Ici, l'étude des formes et des couleurs qui les sous-tendent a été conçue de manière symbolique. Gage souligne également que pour réaliser une étude de la couleur dans l'art, il est nécessaire de faire une observation sensible et précise, et que la couleur n'est pas seulement un "daté mesurable" (Gage, 2006 : p. 67). Des études préliminaires ont été réalisées, puis leur agrandissement à l'échelle réelle. Inséré dans une pyramide quadrangulaire et une verrière inversée, chaque côté est une allégorie à l'artiste et à l'atelier, les créateurs étant représentés par les couleurs orange et rouge, les couleurs utilisées pour les vêtements des figures importantes dans le vitrail médiéval. Les petits lilas et roses sont destinés aux vitraillistes qui faisaient le travail artisanal. Des couleurs coûteuses où l'or est souvent utilisé, comme un remerciement à ces travailleurs, qui restent souvent anonymes, mais sans lesquels l'œuvre ne serait pas réalisée. La quatrième face de la pyramide où les couleurs vertes ont été utilisées symbolise la naissance du musée. Le bleu représente à la fois le ciel et le fleuve Douro qui baigne la ville (Almeida, 2022). C'était la dernière œuvre réalisée dans l'atelier Antunes. | En 2021, Teresa Almeida réalise le vitrail pour la verrière du musée (Figure 4). Ici, l'étude des formes et des couleurs qui les sous-tendent a été conçue de manière symbolique. Gage souligne également que pour réaliser une étude de la couleur dans l'art, il est nécessaire de faire une observation sensible et précise, et que la couleur n'est pas seulement un "daté mesurable" (Gage, 2006 : p. 67). Des études préliminaires ont été réalisées, puis leur agrandissement à l'échelle réelle. Inséré dans une pyramide quadrangulaire et une verrière inversée, chaque côté est une allégorie à l'artiste et à l'atelier, les créateurs étant représentés par les couleurs orange et rouge, les couleurs utilisées pour les vêtements des figures importantes dans le vitrail médiéval. Les petits lilas et roses sont destinés aux vitraillistes qui faisaient le travail artisanal. Des couleurs coûteuses où l'or est souvent utilisé, comme un remerciement à ces travailleurs, qui restent souvent anonymes, mais sans lesquels l'œuvre ne serait pas réalisée. La quatrième face de la pyramide où les couleurs vertes ont été utilisées symbolise la naissance du musée. Le bleu représente à la fois le ciel et le fleuve Douro qui baigne la ville (Almeida, 2022). C'était la dernière œuvre réalisée dans l'atelier Antunes. | ||
[[Fichier:Figure 4. Vitrail de Teresa Almeida au Musée du vitrail.jpg|néant|vignette]] | [[Fichier:Figure 4. Vitrail de Teresa Almeida au Musée du vitrail.jpg|néant|vignette]] |
Version du 29 janvier 2024 à 15:20
Abstract
L'importance de la couleur dans le domaine de l'activité artistique perceptuelle a été largement étudiée par des scientifiques et des artistes au fil des siècles. Cependant, c'est à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle que l'étude de la couleur acquiert de nouveaux concepts et préoccupations, en relation avec le langage de la perception et la connexion avec la psychologie (Gage, 2006). John Gage nous rappelle que la numérotation des catégories de couleurs ne se réfère qu'à une petite fraction des millions de sensations/couleurs qui existent, et, dans ce sens, la plupart des individus peuvent les identifier. Les artistes voient les couleurs de manière très particulière et les présentent avec leurs propres caractéristiques (Gage, 1999). Johannes Itten écrit que la couleur est la vie, qu'un monde sans couleurs est comme un monde mort (Itten, 1961). En relation avec le matériel et l'immatériel, la couleur dans le verre possède une relation intrinsèque. La couleur varie dans l'espace et dans le temps, agissant de manière différente par rapport à d'autres matériaux (Almeida, 2011).
Article
Antécédents
L'artiste João Aquino Antunes (1939-2022), ancien professeur de la Faculté des beaux-arts de l'Université de Porto, connu pour son vaste travail de vitrail (et aussi en mosaïque), qu'il intitule Art Monumental, croyait que c'est la peinture la plus adaptée aux intérêts communs des populations, dans le sens où elle établit une fonction objective et immédiate (Almeida, 2011). C'est l'artiste portugais qui a réalisé le plus d'œuvres en vitrail. Issu d'une famille de vitraillistes, João Aquino Antunes possédait un atelier fondé, dans la ville de Porto, par son grand-père Plácido António Antunes (1886 - 1950) en 1906. C'est à partir de cette date qu'une collaboration avec le peintre António Carneiro a débuté, employant des artisans et initiant une collaboration artistique et artisanale dans la réalisation de la technique du vitrail. Une des principales œuvres de cette période est celle réalisée pour l'église Santo António dos Congregadas en 1925 et achevée en 1927. Son fils João Baptista Antunes (1914 - 1994) prend en charge l'atelier après sa mort, élargissant l'atelier, travaillant avec divers artistes portugais pour réaliser des œuvres pour des espaces publics, religieux et privés. Ensuite, le petit-fils de Plácido Antunes, Aquino Antunes, hérite de toute cette tradition de connaissances, commençant à travailler dans cette relation entre l'art et les métiers dès son plus jeune âge. La relation entre les "arts and crafts" est présentée ici dans le personnage du vitrailliste qui exécutait toutes les tâches manuelles, du découpage à la disposition des différents verres dans le four, du montage avec le plomb à la disposition dans l'espace final. L'artiste concevait l'idée, les études, les soi-disant cartons, qui étaient ensuite agrandis, transposés et réalisés en verre. Face à toute cette tradition et ces connaissances, Aquino Antunes décide de créer dans sa ville natale un musée dédié au vitrail et aux œuvres réalisées dans l'atelier Antunes.
Le musée et la collection
Le choix de l'emplacement a été soigneusement planifié, un bâtiment situé dans la vieille ville près de la cathédrale de Porto, qui a ouvert ses portes en 2021, avec une inauguration officielle en 2022 (Figure 1). Ce musée est constitué de plusieurs étages et abrite une partie du patrimoine des vitraux réalisés par l'atelier Antunes, un atelier familial qui a duré 3 générations (1906 – 2022). En montant l'escalier jusqu'au premier étage, on trouve une fenêtre en face, d'où l'on peut voir l'église Santo António dos Congregadas, le lieu où la première grande œuvre de l'atelier a été réalisée, invitant ainsi le spectateur du musée à déambuler dans la ville à la recherche d'œuvres en vitrail (Figure 2).
La collection du musée présente des œuvres de l'atelier, des travaux originaux du professeur Aquino tels que Vénus Ameaçada, Vilarinho da Furna et Paisagem, ainsi que des détails de grandes œuvres dispersées dans tout le pays. Ces vitraux servaient à présenter au client un échantillon du travail final. Une vidéo, située en mezzanine, et plusieurs affiches, disposées dans une petite salle intérieure, montrent au visiteur comment réaliser un vitrail, depuis les premiers dessins jusqu'à la mise en place dans l'espace. Les vitraux sont placés dans des structures éclairées artificiellement pour une meilleure visualisation de leurs peintures. Leur thème est varié. Au premier étage, il y a des allégories religieuses sous des formes abstraites et figuratives, ainsi qu'un exemple exceptionnel intitulé 'Tiffany', où l'on peut voir la maîtrise de la technique du vitrail avec de petits morceaux de verre colorés. En parlant avec M. José, le vitrailliste qui l'a réalisé, il évoque le plaisir qu'il a eu dans son exécution, du petit découpage au choix de l'épaisseur du plomb et à sa soudure. Au dernier étage se trouvent les œuvres les plus récentes, presque toutes de la main d'Aquino Antunes, à l'exception de la maquette réalisée par Júlio Resende pour le tribunal de Vagos en 1971. Ici, l'œuvre Paisagem, une composition abstrait-géométrique avec des mouvements verticaux et sinueux, dominée par des tons bleus. Le mouvement est accentué par la composition des lignes de plomb, celles-ci (re)créant le rythme de la composition, son expression (Figure 3). Œuvre réalisée en 1988 qui a constitué la preuve pour l'obtention du titre de Professeur Agrégé du 5e groupe décerné par l'École Supérieure des Beaux-Arts de l'Université de Porto (Almeida, 2021, Almeida, Lochorey 2021).
Symbolisme des formes
En 2021, Teresa Almeida réalise le vitrail pour la verrière du musée (Figure 4). Ici, l'étude des formes et des couleurs qui les sous-tendent a été conçue de manière symbolique. Gage souligne également que pour réaliser une étude de la couleur dans l'art, il est nécessaire de faire une observation sensible et précise, et que la couleur n'est pas seulement un "daté mesurable" (Gage, 2006 : p. 67). Des études préliminaires ont été réalisées, puis leur agrandissement à l'échelle réelle. Inséré dans une pyramide quadrangulaire et une verrière inversée, chaque côté est une allégorie à l'artiste et à l'atelier, les créateurs étant représentés par les couleurs orange et rouge, les couleurs utilisées pour les vêtements des figures importantes dans le vitrail médiéval. Les petits lilas et roses sont destinés aux vitraillistes qui faisaient le travail artisanal. Des couleurs coûteuses où l'or est souvent utilisé, comme un remerciement à ces travailleurs, qui restent souvent anonymes, mais sans lesquels l'œuvre ne serait pas réalisée. La quatrième face de la pyramide où les couleurs vertes ont été utilisées symbolise la naissance du musée. Le bleu représente à la fois le ciel et le fleuve Douro qui baigne la ville (Almeida, 2022). C'était la dernière œuvre réalisée dans l'atelier Antunes.
Notes & Références
Bibliographie
Almeida, Teresa. (2011). Le verre en tant que matériau plastique : transparence, lumière, couleur et expression. Thèse de doctorat. Université d'Aveiro
Almeida, Teresa. (2021) La peinture transparente de João Aquino Antunes. Revue GAMA, Études artistiques. Volume 9, numéro 18, juillet-décembre 2021 ISSN 2182-8539, e-ISSN 2182-8725
Almeida, Teresa. (2022). L'éthéré de la lumière et de la couleur dans le vitrail - cas d'étude de trois artistes portugais, Revue Éter, ISSN 2595-4814.
Almeida, Teresa. Emma, Lochorey, Stained Glass Workshop Heritage in Portugal with more than 100 Years. International Journal of Art and Art History. June 2021, Vol. 9, No. 1, pp. 1-12 ISSN: 2374-2321 (Print), 2374-233X (Online)
Gage, John. (1999). La couleur et la culture. Pratique et signification de l'Antiquité à l'Abstraction. Universityof California Press, Thames & Hudson Ltd
Gage, John. (2006). La couleur et le sens, Art, Science et Symbolisme. Singapour : Thames & Hudson Ltd
Itten, Johannes (1961). L'art de la couleur - la justification subjective et objective de la couleur. New York : Reinhold Publishing Corporation, 1961 (traduction Ernst van Haagen)
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