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Au département textile, j’ai été initiée aux techniques et j’ai vraiment aimé travailler avec mes mains. J’ai vraiment bien réagi à la méthode du @tufting@ parce que c’est assez physique. On ne voit pas vraiment immédiatement ce que l’on fait – la laine est tuftée de l’arrière –, c’est relativement rapide (par rapport au tissage) et ça a une forte présence. Je n’aurais jamais pensé travailler avec de la laine avant. Ce matériau peut être lourd, séduisant, affreux aussi, et j’apprécie beaucoup tous ces aspects. Il faut vraiment avoir une certaine quantité de laine tuftée pour que quelque chose commence à apparaître. C’est une travail additif : on commence et on crée cette apparition. C’est un processus qui me convenait vraiment bien, avec la combinaison de l’esquisse d’un plan et de la réaction à ce qui se passe dans la toile : c’est une façon très expressionniste de travailler.
Au département textile, j’ai été initiée aux techniques et j’ai vraiment aimé travailler avec mes mains. J’ai vraiment bien réagi à la méthode du ''tufting'' parce que c’est assez physique. On ne voit pas vraiment immédiatement ce que l’on fait – la laine est tuftée de l’arrière –, c’est relativement rapide (par rapport au tissage) et ça a une forte présence. Je n’aurais jamais pensé travailler avec de la laine avant. Ce matériau peut être lourd, séduisant, affreux aussi, et j’apprécie beaucoup tous ces aspects. Il faut vraiment avoir une certaine quantité de laine tuftée pour que quelque chose commence à apparaître. C’est une travail additif : on commence et on crée cette apparition. C’est un processus qui me convenait vraiment bien, avec la combinaison de l’esquisse d’un plan et de la réaction à ce qui se passe dans la toile : c’est une façon très expressionniste de travailler.

Dernière version du 17 décembre 2023 à 16:30

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Définition du message (Caroline Achaintre: entretien)
Au département textile, j’ai été initiée aux techniques et j’ai vraiment aimé travailler avec mes mains. J’ai vraiment bien réagi à la méthode du ''tufting'' parce que c’est assez physique. On ne voit pas vraiment immédiatement ce que l’on fait – la laine est tuftée de l’arrière –, c’est relativement rapide (par rapport au tissage) et ça a une forte présence. Je n’aurais jamais pensé travailler avec de la laine avant. Ce matériau peut être lourd, séduisant, affreux aussi, et j’apprécie beaucoup tous ces aspects. Il faut vraiment avoir une certaine quantité de laine tuftée pour que quelque chose commence à apparaître. C’est une travail additif : on commence et on crée cette apparition. C’est un processus qui me convenait vraiment bien, avec la combinaison de l’esquisse d’un plan et de la réaction à ce qui se passe dans la toile : c’est une façon très expressionniste de travailler.

Au département textile, j’ai été initiée aux techniques et j’ai vraiment aimé travailler avec mes mains. J’ai vraiment bien réagi à la méthode du tufting parce que c’est assez physique. On ne voit pas vraiment immédiatement ce que l’on fait – la laine est tuftée de l’arrière –, c’est relativement rapide (par rapport au tissage) et ça a une forte présence. Je n’aurais jamais pensé travailler avec de la laine avant. Ce matériau peut être lourd, séduisant, affreux aussi, et j’apprécie beaucoup tous ces aspects. Il faut vraiment avoir une certaine quantité de laine tuftée pour que quelque chose commence à apparaître. C’est une travail additif : on commence et on crée cette apparition. C’est un processus qui me convenait vraiment bien, avec la combinaison de l’esquisse d’un plan et de la réaction à ce qui se passe dans la toile : c’est une façon très expressionniste de travailler.